Ce que le Covid a changé sur le marché de l’emploi en 2021

La pandémie du Covid-19 a changé beaucoup de choses, notamment concernant le recrutement et l’intégration des cadres. On a assisté à de nombreuses envies de reconversion et de généralisation du télétravail. Ainsi, voici quelques éléments marquants d’une époque de changement.

L’existence de métiers porteurs depuis la crise

Il faut dire que le pangolin a bien déboussolé la planète avec le virus Covid-19. La crise sanitaire a ouvert les yeux de nombreuses personnes. Cette prise de conscience s’est manifestée par le besoin d’une économie plus verte, d’un système de santé plus résilient ainsi qu’un e-commerce plus développé.

Ainsi, les métiers se rapportant à ces différents éléments n’ont pas cessé de recruter même durant la crise. Et cela va continuer d’ici encore quelques années.

Le désir de reconversion

Selon une étude menée par Cadremploi, environ 80 % des cadres souhaitent changer de cap. Cela dit, il y a un désir de reconversion qui peut se sentir chez les travailleurs. À l’arrêt depuis plus d’un an, les secteurs comme l’hôtellerie, le tourisme, la restauration et l’événementiel sont parmi les plus touchés par la crise sanitaire.

Bon nombre de salariés de ces secteurs cherchent du travail tant bien que mal. C’est pourquoi l’État et les partenaires sociaux ont mis en place un nouveau dispositif pour la transition collective qui facilite les reconversions professionnelles d’un métier condamné vers un métier porteur.

L’explosion des entretiens d’embauche par visioconférence

Aujourd’hui, même les personnes les plus réticentes à la technologie s’y sont pliées. Avec la crise du Coronavirus, la distanciation sociale oblige les employeurs à faire des entretiens à distance. Les entreprises se sont habituées au télétravail. Et pourquoi pas donc faire un entretien par visioconférence ? Cette révolution est une aubaine pour des candidats qui ne veulent pas se déplacer durant la crise.

Le cumul salariat en raison de la crise

Face à la pandémie, en 2020, on a vu pousser un peu partout de nouvelles entreprises avec environ 845 000 nouvelles boites. Toutefois, 65 % de ces microentreprises ne font qu’en moyenne 450 euros de chiffre d’affaires. Cela a l’air d’un complément de revenu ou d’allocation plutôt que d’un vrai salaire. Seul le temps nous dira combien de ces entrepreneurs en herbe vont s’en sortir et n’auront plus besoin de redevenir un simple salarié.

 

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